Jouve Jean-Pierre

DIPLÔMES :

  • Architecte diplômé par le Gouvernement en 1959, École nationale supérieure des Beaux-Arts de Lyon (atelier René Gages), puis de Paris (atelier André Leconte) ;
  • prix de !’Office technique de l’Acier ; diplômé du Centre d’Études Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens en 1958. CONCOURS ACMH de 1972-1973.

TITRES ET FONCTIONS :

Architecte libéral de 1959 à 1962 à Paris et à Montpellier à partir de 1963 ; délégué dans les fonctions d’ACMH en 1973, il est nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques en 1977. Il travaille dans le Gard de 1973 à 1993 et en Lozère de 1979 à 1982 En 1979, il est aussi chargé des Bouches-du-Rhône et de missions ponctuelles dans l’Hérault et, à partir de 1983, d’une mission sur le Fort-St-Jean de Marseille, au titre des Bâtiment civils. Il conserve les arrondissements d’Arles, d’Istres et de Marseille dans les Bouches-du-Rhône, la Maison carrée à Nîmes (Gard) et, en 1992, il devient responsable du château de Vincennes et du Palais de justice de Paris. En 1985, il est inspecteur général des Monuments historiques du Val-de-Grâce et de l’hôtel de Béthune-Sully ainsi que des régions Rhône-Alpes, Corse, Midi-Pyrénées et de l’église St-Sernin de Toulouse. Il est aussi Inspecteur Général de l’église St-Louis-des-Français à Lisbonne (Portugal), des Pieux Établissements de France à Rome et de la villa Médicis (Italie). Il est expert consultant auprès des Nations unies (UNDP-UNESCO) au Lesotho en Afrique, et expert consultant de la Communauté européenne à Bruxelles et à Athènes pour !’Acropole. Il a enseigné à !’École spéciale d’Architecture (1962-1967) et à la Sorbonne (1980-1986). Membre de i’ICOMOS et de la SFA.

PRINCIPAUX OUVRAGES :

Dans le Gard (30), le cloître du cimetière et le logis du Prieur à la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon ; l’accueil des Handicapés sur les remparts d’Aigues-Mortes. Dans les Bouches-du-Rhône (13), le portail de St-Trophime d’Arles, la Vieille Charité et le jardin des vestiges de la Bourse à Marseille, ainsi que la restauration générale de la Cité radieuse Le Co1J:iusier; le cloître et le baptistère de la Cathédrale St-Sauveur d’Aix-en-Provence.

DISTINCTIONS :

  • Prix du Premier ministre : écoles maternelles (Vichy 1971) ;
  • lauréat au concours des Communautés européennes de Bruxelles (1988) ;
  • Chevalier des Palmes académiques (1978) ;
  • Chevalier de !’Ordre national du Mérite (1990).

Dupuy Vincent-Nicolas

DIPLÔMES :

  • Architecte diplômé d’État en 2017 – École nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse ;
  • Habilité à la Maitrise d’oeuvre en Nom Propre en 2019 – École nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse ;
  • DSA mention Architecture et Patrimoine en 2023 – École de Chaillot – Paris.

TITRES ET FONCTIONS :

  • Architecte collaborateur de Stéphane Thouin, ACMH, et de Nicolas Calandre, AP, de 2017 à 2024 ;
  • nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques en 2024 en Gironde (33), dans les Landes (40) et sur la Villa Cavrois à Croix dans le Nord (59).

Duthoit Edmond Clément Marie Louis

TITRES ET FONCTIONS

Il est un des principaux collaborateurs de Viollet-le-Duc et poursuit la restauration du château de Roquetaillade de 1865 à 1878. Attaché à la Commission des Monuments Historiques, il se voit confier l’étude sur la conservation des monuments arabes. Il propose alors la création d’un service des Monuments Historiques en Algérie dont il devient le premier inspecteur.

PRINCIPAUX OUVRAGES

Il restaure de nombreux édifices dans la Somme et l’Oise. Il est aussi l’auteur de l’église de Brebières à Albert (Somme).

Duval Georges

École nationale supérieure des Beaux-Arts, architecte diplômé par le Gouvernement en 1948 ; diplômé de l’Institut d’Urbanisme.

TITRES ET FONCTIONS

Architecte des Bâtiments civils et Palais nationaux en 1956, il est nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques (1956-1987), et chargé successivement de la Creuse, de la Corrèze, du Cantal puis de la Drôme (1960-1964), de la Vendée (1964-1973) ; de l’Eure (1964-1987), de la Seine-Maritime et du Calvados de 1975 à 1987. En 1981, il est nommé adjoint à l’inspection Générale, puis Inspecteur Général des Monuments Historiques.
Architecte en Chef et Conservateur du Domaine national du Louvre et des Tuileries. Président de la Compagnie des Architectes en Chef des Monuments historiques de 1976 à 1978 et président de la section scientifique et technique. Professeur au Centre d’Études Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens. Membre de l’ICOMOS et de la SFA.

PRINCIPAUX OUVRAGES

En Seine-Maritime (76), le Palais de justice, la Cathédrale, l’abbatiale St-Ouen et l’église St-Maclou à Rouen ; l’église de Neufchâtel ; le château d’Eu et sa chapelle ; la Cathédrale du Havre. Dans le Calvados (14), la Cathédrale de Bayeux ; les anciennes abbayes aux Dames et aux Hommes et l’église St-Nicolas à Caen ; l’ancienne Cathédrale de Lisieux: le château de Bénouville. Dans le Cantal (15), la Cathédrale de St-Flour. Dans l’Eure (27), l’abbaye du Bec-Hellouin ; l’ancienne abbaye de Bernay : le château de Gaillon Aménagements muséologiques à Rouen, Dieppe, Lisieux et au Louvre ; présentation de la tapisserie de la reine Mathilde dans l’ancien séminaire de Bayeux.

PUBLICATIONS

Restauration et réutilisation des Monuments Anciens Techniques contemporaines – Ed. Mardaga Liège 1990.

Flavigny Francesco

DIPLÔMES

Architecte diplômé par le Gouvernement en 1969, École nationale supérieure des Beaux-Arts (atelier Herr-Feray), diplômé de l’lnstut d’Urbanisme de l’Université de Paris en 1969 : diplômé du Centre d’Etudes Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens en 1979.

TITRES ET FONCTIONS

Architecte à Rouen de 1969 à 1979 ; nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques en 1980, il est chargé de la Drôme (1980-1989), de l’Ardèche, des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes dont il conserve l’abbaye de Boswdou.

PRINCIPAUX TRAVAUX

Dans la Drôme (26), le « Palais idéal » du facteur Cheval à Hauterives et le Palais Delphinal à St-Donat. Dans l’Ardèche (07), l’abbatiale de Cruas. Dans les Alpes-de-Haute-Provence (04), la cathédrale de Digne, le monastère de Ganagobie, la fondation Carzou à Manosque. Dans les Hautes-Alpes (05), l’abbatlale de Boscodon.

Fonquernie Bernard

DIPLÔMES

Architecte diplômé par le Gouvernement en 1965, École nationale supérieure des Beaux-Arts (atelier Beaudouin) : Séminaire et Atelier d’Urbanisme Tony Garnier (1962-1963) ; diplômé du Cours d’Études Supérieures d’Histoire de l’Art et de Conservation des Monuments Anciens, 1965.

TITRES ET FONCTIONS

Architecte libéral, urbaniste SFU/SATG, architecte consultant du Conseil de l’Europe (1993-1997), architecte expert de l’UNESCO (1964-2005), nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques en 1973, chargé du Lot et de l’Aveyron (1973-1980), du Gers (1975-1980), de la Dordogne et de la Gironde (1980-1992), le Grand Théâtre de Bordeaux jusqu’en 2000, des 3e, 4e, 11e, 12e et 20e arrondissements de Paris (1976-1996) la cathédrale Notre-Dame de Paris jusqu’en 2000, de la Cathédrale de Strasbourg et des Yvelines (1991-2000) à l’exception du parc et du château de Versailles et de ses dépendances ; Vice-Président de l’Académie d’Architecture (1980 – 1983), membre du Comité d’Actions de la Sauvegarde de l’Art Français, du Conseil d’Administration de la Société Française d’Archéologie, de la Commission VMF du Patrimoine Historique. Il est nommé Inspecteur Général des Monuments Historiques chargé des régions Pays de la Loire et Poitou-Charentes (1982-1993), Bretagne et Centre (1982-2000), du Mont-St-Michel (1990-2000). Architecte-consultant auprès du Service des Antiquités de Syrie (1999-2004) ; Enseignant au Centre d’Etudes Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens (1987-2001), à l’Institut des Beaux-Arts de l’Université Libanaise depuis 1996, à la Faculté d’Architecture de l’Université de Damas depuis 2003.

PRINCIPAUX OUVRAGES

Restauration des cathédrales de Rodez, Cahors, Bordeaux, Strasbourg et Notre-Dame de Paris ; des abbayes de Conques, de Cadouin ; des châteaux de Vaillac, de Cieurac, d’Hautefort, de Biron, de Castelnaud-la-Chapelle, du château Margaux ; du phare de Cordouan ; de la citadelle de Blaye ; du Grand Théâtre de Bordeaux, du château de Maisons-Laffitte, de Breteuil ainsi que divers hôtels du Marais à Paris. Musée Boudes à Conques, Carnavalet à Paris 4°, Musée national des Douanes à Bordeaux, Conservatoire des Arts et Métiers et église Saint-Martin des Champs à Paris 4°. Études de sites, paysages et plans d’urbanisme, site du Puy-en-Velay-Polignac en Haute-Loire (43) et Salers dans le Cantal (15) ; les centres anciens de Millau et Espalion dans l’Aveyron (12) ; le secteur sauvegardé de Cahors dans le Lot (46). Missions à l’étranger d’études et de conseils sur monuments et sites classés : Nubie et Haute Egypte : temples de Ouadi Sebua, Abou Simbel, Ramesseum (1963-1982) ; Brésil : El Kanthara, Sao Luis (1987-1988) ; Croatie, centres anciens de Dubrovnik, Zadar et Sibenik (1992-2003) ; Liban, sites et centres anciens de Byblos, Sidon, Tyr, Baalbek (1993-2001) ; Sicile, cathédrale de Noto (1996-1997) ; Moscou, cathédrale Saint-Blaise (1999) ; Cambodge, Angkor et Pnom Penh (1998-2002) ; Tunis, palais Dar Rachid (2000-2003) ; Mostar : hammam Cejvan cehaja’s (2002-2004) ; Bahrein : centres anciens de Manama et Muharraqa (2003 et 2015) ; Chine : Maoling Museum à Xing Ping (2004), Tianlongshang (2005), Mogao grottoes à Dunhuang (2007), Shangling Mausoleum à Xianyang (2007), Chengdu (2007 et 2008), Liniyi, lachan (2014) ; Zichuan district (2015), Kangia Shimenzi à Hutubi (2016).

DISTINCTIONS

Chevallier de l’ordre de la Légion d’Honneur, Chevalier de l’ordre du Mérite, Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres, Croix de l’ordre de Danica Hrvatska ( Croatie). Prix international AR&PA 2000 de restauracion del patrimonio historico – Espagne.

Formigé Jean-Camille

École des Beaux-Arts, atelier Laisné, Godeboeuf et Ballu.

TITRES ET FONCTIONS

Il est architecte diocésain d’Auch (1879), de Laval (1883) et de Meaux (1891). Il entre dans le Service des Monument Historiques en 1873 et il est ainsi chargé de relever divers monuments pour les archives de la Commission. À partir de 1875, il est chargé de restaurer les églises de Nouaillé (Vienne) et de Conques (Aveyron). Il est rapporteur près de Comité des travaux diocésains (1876). Enfin, il est élu membre de la Commission des Monuments Historiques en 1888, puis nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques (1901-1916), chargé des Bouches-du-Rhône, du Gard, des Alpes-Maritimes et du Var ; en 1907, il devient Architecte en Chef des Cathédrales d’Aix, de Fréjus et de Nice.

PRINCIPAUX OUVRAGES

Il restaure l’ancienne abbaye de Nouaillé (Vienne) ; les églises de Conques (Aveyron) et de Courcôme (Charente) ; les Cathédrales d’Auch (Gers). de Laval (Mayenne) et de Meaux ainsi que divers monuments de Poitiers. Il dirige également les travaux au musée des Gobelins, ceux des grandes serres de la Ville de Paris et du palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux Il participe à l’aménagement du Champs-de-Mars et des jardins de la butte Montmartre.

DISTINCTIONS

Il obtient une médaille de 3e classe en 1875 puis une de 2e classe en 1876. Cette même année, le prix Duc lui est décerné par l’Académie des Beaux-Arts. Il reçoit une médaille d’honneur en 1881 et 1er prix à l’exposition de 1889. Il est Chevalier de la Légion d’honneur en 1885, promu Officier en 1889.

Formigé Jules Jean

École des Beaux-Arts, atelier Pascal.

TITRES ET FONCTIONS

Dès 1899, il collabore avec son père Jean Formigé. En 1911, il est chargé de mission à Nîmes et à Arles, puis en 1913 de la Cathédrale de Nîmes. En 1914, il est chargé de mission à Dié, des Bouches-du-Rhône et de la Ville d’Orange en 1918, de la Cathédrale de Poitiers, du Var, des Alpes-Maritimes, des monuments antiques de Vienne et des fouilles de St-Roman-en-Gal (Rhône). En 1919, il est nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques (1920-1948), chargé de l’arrondissement de Pontoise (1925), des parties classées du Palais de Justice de Paris, de la Conciergerie et de la Ste-Chapelle (1929). Il est adjoint à l’Inspection Générale (1936) et il est nommé Inspecteur Général des Monuments Historiques en 1944. Il est alors chargé de missions à St-Denis, à La Turbie, à Arles, à St· Rémy-Ensérune, à Vienne et à Orange jusqu’en 1959.

PRINCIPAUX OUVRAGES

Les églises de Vienne, le théâtre d’Orange, le château de Tarascon, les monuments de St-Rémy, la Cathédrale de Marseille, les abbayes de Silvacane et du Thoronet ainsi que le cloître de Fréjus.

DISTINCTIONS

Prix Rouger (1909), médaille d’honneur pour le relevé général d’Arles (1905), médaille d’argent à l’exposition École des Beaux-Arts de Rouen (1906). Chevalier de la Légion d’honneur (1924), promu Officier (1935). Commandeur (1957) et Membre de l’Académie des Beaux-Arts (1942).

Froidevaux Yves-Marie

Architecte diplômé par le Gouvernement, prix du meilleur diplôme (1933), École nationale supérieure des Beaux-Arts, ateliers P. André et Patouillard Demoriane ; diplômé du Centre d’Études Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens (1932).

TITRES ET FONCTIONS

Il est nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques (1939-1979), chargé de la Dordogne de 1939 à 1974 (à l’exception des vestiges romains de Montcaret), de la Vienne de 1940 à 1947 (à l’exception des fouilles de Sanxay que conserve Formigé), des Ardennes de 1941 à 1952 (mais il garde en mission spéciale l’église St-Nicolas de Rethel). De 1945 à 1974, il est chargé respectivement de la Manche (à l’exception des arrondissements de Cherbourg et des cantons de Bricquebec et de Barneville ainsi que des églises de Carentan et de St-Côme-du-Mont), de la Cathédrale de St-Lô (1948). En 1953, il est nommé adjoint à l’Inspection Générale des Monuments Historiques, chargé des Hautes-et-Basses-Pyrénées, du Lot-et-Garonne, du Gard, du Lot, du Tarn-et-Garonne, de la Haute-Garonne et de l’Ariège. En 1952, il est nommé Architecte en Chef pour l’ensemble du département de la Manche chargé des réparations après dommages de guerre ; puis, en 1957, du Mont-St-Michel, de l’ancienne abbaye de Charroux jusqu’en 1958. Sa mission pour l’Inspection Générale s’étend aux départements des Landes, du Gers, du Tarn, de l’Aveyron (1957) puis des Pyrénées-Orientales, de l’Aude (1962), de !’Hérault, de la Lozère (1964), du Languedoc (1966) et de la Haute-Normandie (1968).
Dans le cadre de la loi-programme de 1968, une mission spéciale lui est confiée sur dix églises romanes en Charente entre 1968 et 1973. Enfin, il est chargé du château d’Hautefort, de l’ancienne abbaye de St-Avit-Senieur en Dordogne, de Notre-Dame de Coutances, de la Cathédrale et de l’église St-Maclou, de l’ancien archevêché de Rouen (1974-1979/81). En 1974, il est nommé Inspecteur Général des Monuments historiques. Professeur d’architecture ancienne à !’École nationale supérieure des Beaux-Arts à partir de 1958.
Professeur et directeur des études au Centre d’Études Supérieures d’Histoire et de Conservation des Monuments Anciens à partir de 1969.

PRINCIPAUX OUVRAGES

En Dordogne (24), restauration des châteaux de Puyguilhem et d’Hautefort (après incendie), de Bourdeilles ; des édifices de Sarlat ; des abbayes de Boschaud, Brantôme, Cadouin ; des églises de Agonac, de Carsac, de Reilhac, de Sergeac, de St-Léon-sur-Vezere, aménagement des grottes de Lascaux et de Fond-de-Caume. Dans les Ardennes (08), les églises St-Nicolas de Rethel, Notre-Dame de Mézières, de Voncq ; le château de Bazeilles ; la place ducale de Charleville. Dans la Manche (50), les églises de St-Lô, Carentan, Valognes, St-Côme-du-Mont ; la collégiale de Mortain ; les abbayes de Lessay, de la Lucerne, de Hambye et celle du Voeu de Cherbourg ; le Mont-St-Michel.

PUBLICATION

Techniques de l’architecture ancienne – Construction et restauration, Éd. Pierre Mardaga, Liège, nouvelle édition, 1986.

DISTINCTIONS

Premier prix Chenavard (1935), médaille d’argent de la Société Centrale, une mention honorable ainsi que deux médailles aux Salons des Artistes français en 1931, 1933, 1935 ; un diplôme d’honneur à l’exposition des Arts et Techniques en 1937, Officier de la Légion d’honneur en 1951, Officier de l’Ordre national du Mérite, membre de l’Académie d’Architecture.

Fromont Rémi

DIPLÔMES :

Architecte DPLG (2003), DEA (grade Master) Le projet architectural et urbain (2004), DSA de l’école de Chaillot (2014).

TITRES ET FONCTIONS :

Nommé Architecte en Chef des Monuments Historiques en 2016 dans le Cantal (15) et le Puy-de-Dôme (63). En charge de la cathédrale de Clermont-Ferrand, de l’hôtel de Chazerat (DRAC) à Clermont-Ferrand, du Palais de Justice (Sainte-Chapelle ducale) à Riom, du Château de Villeneuve-Lembron (CMN) et du menhir de Sainte-Anne et Menhir de la Sarre à Clermont-Ferrand. En charge de la Cathédrale Notre-Dame de Paris (2019) puis du Cher (18) avec la Cathédrale de Bourges.

DISTINCTIONS :

Chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur (2025).